Compagnie des écrivains de Tarn-et-Garonne

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SORTIE "HORS LES MURS"

le samedi 9 octobre 2021

à LAUZERTE (82)

 

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Comme chaque année la compagnie a organisé une sortie le 9 octobre 2021 à LAUZERTE sur les pas de Pierre SOURBIE? Elie DECAHORS et Paul LACOMBE.

Présence d'une trentaine de personnes à l'écoute des différents intervenants.

 

 

 Etaient présents :

 

Erick Anselme, Guy Astoul, Nelly Boucheron Seguin, Evelyne Bourée, Patrice Brassier, Huguette Cambon, Marie Canetti, Colette Coladon, Jean Coladon, Sandy Communal, Hugues De Jubecourt, Robert Delbouys, Françoise Delmas, Alain Delmas, Pierre Desvergnes, Jean-Claude Fabre, Jacqueline Gabillon, Roland Gabillon, Gérard Garric, Liliane Gaubert, Nicole Grenouillet, Jackie Jofre, Jean-Claude Martinez, Marilène Meckler, René Meckler, Marilou Pierasco, Norbert Sabatié, Odile Stéphan, Marie-France Vainguer, Robert Vila.

 

Excusés : Andrée Chabrol-Vacquier, Christian Stierlé.

 

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Pierre Desvergnes dit Pierann (Président de la Compagnie de Ecrivains de Tarn et Garonne) dit sa satisfaction de retrouver les Compagnons et les personnalités invitées en cette belle journée après des mois de difficultés de communication. En cette belle salle de l’Eveillé, construite dans le roc, il présente le programme de la journée à Lauzerte, un « ‘des plus beaux villages de France » avec 4 conférences.

 

I Les anecdotes de LAUZERTE par Jean-Claude MARTINEZ pur Lauzertin chef de projet informatique, amateur de sports (2 ouvrages sur le rugby) et d’histoire. Passionné par celle de Lauzerte (2 ouvrages) Jean-Claude Martinez nous précise que si Patrice Brassier, présent, a conté la « grande histoire » de Lauzerte, lui, se consacre depuis des années à la « petite histoire » des habitants de la commune. A partir de vieilles photos locales il a reconstitué peu à peu la mémoire collective des Lauzertins et créé l’« Association des Amis de Lauzerte ». Sa méthode originale consiste à afficher la photo ancienne d’un lieu ou d’un personnage, de proposer un quiz, et de recueillir ensuite les réactions, ce qui ne manque jamais de faire boule neige et d’enchaîner les témoignages personnels, individuels ou familiaux sur plusieurs générations et d’alimenter les conversations. Deux tomes ont présenté ces véritables témoignages patrimoniaux qui ont leur place au Syndicat d’initiative, un troisième est en cours. Quelques exemples du succès de ces quiz :

 

= La photo d’un morceau d’arbre a permis de ressusciter l’ »Arbre de Sully » de 1599 qui, devenu sec, a dû être coupé en 1990. Par respect il a été débité en tranches et distribué aux habitants. Ainsi chacun évoquait l’arrivée chez soi d’un morceau de l’arbre vénérable.

 

= La photo de la ruine du « Garage Capitaine » (futur Centre médical) avec sa station service : Ancienne entreprise de transports de marchandises et de voyageurs, elle a fait resurgir bien des souvenirs avec les photos familiales des employés au fil des années posant devant les divers véhicules.

 

= Des souterrains au Lac ! :Construite sur un piton rocheux, Lauzerte compte au moins une quinzaine de souterrains, dont certains découverts par des gamins. C’est l’exploration d’une grotte et, de fil en aiguille, cela mène à une salle ou à un puits. Chaque habitation possède ainsi son puits ou sa fontaine. Par curiosité un explorateur local a même ouvert un jour une vieille porte de garage qui donnait sur…un lac !

 

= « Le pou du ciel » : à partir du quiz proposé avec la photo de ce petit avion des années 30, tout simple, au moteur de moto, entouré de ses constructeurs, s’est déroulé la saga de sa construction par des amateurs passionnés et les récits des vols effectués.

 

Il y a aussi les souvenirs des boulistes et, plus graves, ceux des dernières guerres. Jean-Claude Martinez nous raconte avec émotion l’anecdote du petit tube lâché par un avion d’Air Calédonie durant la guerre de 39/40. Il contenait un court message des « Français Libres » à destination de familles du pays pour les rassurer sur le sort de leurs soldats.

 

En conclusion de cette sympathique évocation, chacun pouvait souhaiter pareille initiative aux habitants d’autres villages français.

 

12H30 repas préparé par « La Table des trois chevaliers » dans les mêmes lieux.

 

II – Evocation d’Elie DECAHORS et de Pierre SOURBIE (poète local) par Patrice BRASSIER écrivain Lauzertin.

 

Elie DECAHORS est né (1885) et décédé à Lauzerte (1961).

 

Cet abbé fut Docteur es lettres, en 1932, Doyen honoraire de la Faculté des Lettres de l’Institut catholique de Toulouse, en 1952, où il était professeur de langue et de littérature française. Il a été remarqué par un prix de l’Académie française en 1933 pour un ouvrage thèse sur Maurice de Guérin, avec création d’un bulletin "L'amitié guérinienne".. Il fut également professeur de 1908 à 1930 au Collège St Théodard de Montauban. Grand admirateur de Blaise PASCAL, et il apprécia d’être ami avec les écrivains contemporains André GIDE, François MAURIAC et Charles PEGUY.

 

Outre son Journal de 1934, des recueils de poèmes, des articles dans la presse, un dictionnaire Français-Latin, Elie Decahors rédigea des conférences, dont une sur Maurice Barrès,et « Trois Messages: Maurice Barrès, André Gide, François Mauriac », reprenant les conférences données à l’Institut catholique de Toulouse.

 

Il composa un « Essai de biographie psychologique sur Maurice de Guérin, avec «Le centaure et la Bacchante » poèmes en prose et leurs sources antiques », une Etude sur Charles PEGUY dans la revue « Cahiers de la pensée française », et aussi « Nos épreuves et nos joies » recueil de discours prononcés en église.

 

Il participa à plusieurs tomes de « Histoire de la littérature française » et à «À la gloire de Léon Bourjade, aviateur-missionnaire" de Jean Suberville , et il laissa une intéressante correspondance avec ses amis écrivains.

 

Arrêté et déporté en 1944, défiant l’occupant, il put néanmoins bénéficier de conditions de « détenu d’Honneur » et rédigea un ouvrage sur « Les déportés de l’Institut catholique de Toulouse »

 

Pierre Sourbié est un poète « du pays natal », né en 1906 et décédé en 1985 à Lauzerte. Professeur, puis retraité, Pierre Sourbié était très cultivé, et cependant d’un abord modeste, bien que bon vivant. Passionné de rugby, il se caractérisait par une allure toujours élancée et élégante, portant chapeau melon en toutes circonstances.

 

Son travail de poète, vital pour lui, fut quelque peu oublié car il ne se mettait pas en avant. C’est Georgette, sa veuve, qui le fit éditer (« Pierre Sourbié – poèmes ») et la municipalité de Lauzerte le gratifia de manière posthume en donnant son nom à la médiathèque.

 

Pour Pierre Sourbié la poésie, dont il respectait les règles, (il composait surtout des sonnets) était « l’oxygène du cœur ». Ses thèmes favoris étaient la nature, l’amour du sol natal, des vieilles pierres, (« Ma maison, « les deux puits ») la nostalgie, la vieillesse (« Demain je vieillirai » ) la mort (« Après » ) . Quatre poèmes de lui sont lus : «  Invitation » , « Le cheminot » et « Le moulin à vent »  

 

==================Pause poétique=================

 

Pierre demande aux compagnons de lire un de leurs poèmes :

 

Marylène Meckler lit « Le silence » - Hugues De Jubecourt «  Poussé par de nouveaux rivages » - Pierann «  Le curé » - M-France «  Décontamination » et Robert Vila « Déracinés » .

 

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III -Conférence sur Paul LACOMBE Anthropologue, par Guy ASTOUL :

 

L'œuvre de Paul Lacombe (1834-1919) est un peu tombée aujourd'hui dans l'oubli. On lui doit pourtant l'un des tout premiers ouvrages en langue française où le mariage et la parenté sont analysés dans une perspective anthropologique moderne.

 

Né à Cahors en 1834 et décédé à Lauzerte en 1919, Paul Lacombe se lie d’amitié avec Léon Gambetta, fait des études de droit et se marie à Paris avec une jeune femme de Cazes-Mondenard. Républicain, hostile à l’Empire et au clergé, libertaire et Libre penseur, il rejette toute forme de nationalisme et croit même en la République universelle. Il adhère à la « Pensée nouvelle ».

 

Par sa brillante carrière d’Inspecteur général des Bibliothèques et des Archives, il sera promu Chevalier de la légion d’Honneur le 29 décembre 1886. II se passionne donc vite pour l’Histoire, les recherches en archives, et les sciences sociales, et s’intéresse tout particulièrement à l’institution du mariage au cours des âges.

 

Il publie : « Mes droits, le mariage libre » et « Le mariage libre, petite histoire du peuple français » en 1868, appel à la propagation des valeurs démocratiques dans les campagnes. Il explique que selon lui deux personnes peuvent s’engager librement, constituer une famille et élever des enfants, sans avoir besoin de contrat de mariage, lequel, bien souvent, aboutit au désavantage de la femme. Il démontre d’ailleurs que la femme a toujours été méprisée et même asservie démesurément au cours des âges, ainsi dans l’Antiquité grecque et romaine. Le conférencier nous lit des témoignages de cruauté domestique terribles recensées par l’historien anthropologue : rapts, violences physiques, femmes vendues plusieurs fois et même assassinées, pas mieux considérées que le bétail…

 

Paul Lacombe s’intéresse aussi à la psychologie de l’enfant au cœur de la famille qui, en toute liberté, doit s’ouvrir au prochain, car il rejette l’individualisme. Ainsi pouvons-nous le reconnaître à l’heure actuelle comme précurseur du féminisme, ce qui n’était pas le cas à son époque où, mis à part quelques amis intellectuels, philosophes spécialisés en sciences sociales comme Henri Berr , Fernand Braudel, Lucien Febvre, la haute société même cultivée le rejetait pour ses idées libertaires à contre-courant.

 

Paul Lacombe reçoit en 1875 un prix de droit international pour un mémoire sur la paix. Il publie « le patriotisme » en 1878. « La famille dans la société romaine » parait en 1889, puis « L’évolution du mariage – famille et parenté »

 

Se tenant loin des estrades, il venait souvent se ressourcer à Lauzerte. En 1894 il est remarqué pour son « Histoire considérée comme science » où on lui reconnaît un esprit inventif et original.

 

En 1900, évoluant encore dans sa réflexion sur l’autorité de l’homme dans la société patriarcale, il publie « La Guerre et l'Homme » où il dresse un réquisitoire contre l’instinct guerrier masculin débouchant sur les désastres de la guerre, « rétrogradation absolue » selon lui.

 

En 1906, Paul Lacombe publie un livre intitulé « La Psychologie des individus et des sociétés chez Taine, historien des littératures » où il dénonce une sorte de racisme « savant » qui est alors à son apogée. 

 

A notre époque certains spécialistes s’intéressent à Paul Lacombe, ainsi la socio-anthropologue Martine Ségalen qui l’évoque dans ses cours en Université.

 

Aussi pourrait-on rendre justice à Paul Lacombe pour une pensée et des écrits qui sont tout à fait d’actualité.

 

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IV – Lauzerte – Halte sur les chemins de Compostelle

 

Le président a souhaité que Sandy, conférencière à Lauzerte, évoque la cité et les pèlerins de Saint Jacques en cette année jacquaire.

 

Située sur la route qui va de Cahors à Moissac, Lauzerte, en Quercy blanc, est une étape importante du fameux GR65, la Via Podiensis, qui mène les pèlerins et marcheurs du Puy-en-Velay à Saint-Jacques-de-Compostelle. Un des « plus beaux villages de France », Lauzerte est une des trois étapes de ce pèlerinage en Tarn-et-Garonne.

 

Historique : La cité médiévale de Lauzerte a été créée par Raymond de Saint Gilles, comte de Toulouse au XIIème siècle qui y fit ériger une bastide et créer une sénéchaussée... Cependant son oppidum, avec vestiges de villas gallo-romaines, atteste d’un village gaulois bien antérieur : découverte de pièces de monnaies, d’une « Vénus » gauloise….Deux tours de guet attestent qu’il existait bien un village.

 

Une église Notre dame des Vaux y a été construite au VIII ème siècle, suite à la donation d’une Sainte Vierge à Charlemagne. Des témoignages révèlent qu’une source miraculeuse se trouvait en son chœur. Un premier pèlerinage fut institué car de nombreux fidèles y venaient prier avec ferveur, certains ayant obtenu un miracle accrochaient des exvotos. Démolie au XVIème siècle elle fut rebâtie plus grande; les travaux se sont étalés sur plusieurs siècles.

 

Le pèlerinage de Compostelle (reconnu en 1993 par l’UNESCO) débute au IXème siècle avec les chrétiens partant pour admirer et rendre hommage aux reliques de Jacques le Majeur. Ils sont des milliers, puis certainement des centaines de milliers à tenter cette aventure pour diverses raisons : tout d’abord la foi et la dévotion au Christ, et à ses disciples.

 

La plupart des pèlerins demandent d’être exaucés d’un vœu : guérison, descendance…certains partent pour remercier d’une grâce, d’un miracle (à la manière des ex-voto ) d’autres encore s’imposent un parcours de pénitence pour obtenir le pardon de leurs fautes (Raymond de Montaigu, Armande Balens…°). On sait aussi que certains marcheurs tentent une aventure, encore aujourd’hui, sans motivation spirituelle, par défi, pour réaliser la performance. Il y a eu aussi au fil des siècles de « faux pèlerins » : religieux en rupture avec leur couvent, marchands, trafiquants cherchant fortune, hérétiques, brigands…

 

Le trajet « Camino francès » est long d’environ 1 500 kms, les routes improbables, semées d’embuches…La guerre de Cent ans, les épidémies, les famines, les invasions stoppent le pèlerinage par périodes. La réforme protestante qui nie la véracité des reliques sème le doute, entame fortement l’enthousiasme. En 1867 on ne dénombre que 20 pèlerins !.....

 

Le pèlerinage est relancé au XIXème siècle par la « Société des Amis de St Jacques » . En 1965 il est en plein essor avec 2,5 millions de fidèles.

 

Les attributs du pèlerin :

 

-        1) Vêtements : la cotte , tunique plus ou moins longue, et par-dessus le surcot sans manches, ample et court en tissus épais. Il est remplacé plus tard par la pèlerine (XVème) qui enveloppe le marcheur jusqu’aux chevilles.

 

-        Le chapeau à grands bords , s’agrandit plus tard à l’arrière sur les épaules et devient une pièce protectrice à part : le « mantelet ».

 

2) La coquille : était en quelque sorte un certificat du pèlerinage, elle permettait ainsi l’obtention d’aides et de privilèges. Plus tard les pèlerins prirent l’habitude d’attacher une coquille Saint-Jacques autour de leur cou ou de la fixer à leurs vêtements pour symboliser l’atteinte de leur but. Ce symbole se retrouve sur les portes des lieux accueillant des pèlerins et parfois comme repères sur la route.

 

3) Le bourdon : c’est le bâton du pèlerin de Compostelle. Destiné à aider le marcheur et à lui permettre de se défendre, sa taille a varié au cours de siècles. Il était béni par le prêtre du village avant le départ.

 

4) La besace : c’était le sac en bandoulière qui contenait la nourriture. Elle devait être étroite, et ouverte, signifiant que le pèlerin, mettant sa confiance en Dieu, était prêt à donner autant qu’à recevoir.

 

5) La calebasse : Ancêtre de la gourde, la calebasse des premiers pèlerins de Compostelle était faite d’une courge séchée et vidée ou d’un récipient évoquant cette forme. Accrochée au bourdon, elle servait de récipient pour contenir la boisson du pèlerin.

 

6) Le bourdonnet : c’étaient de petits bâtonnets taillés en os ou en ivoire fixés sur les vêtements, objets symboliques comme les coquilles. Des « pin’s » comme on dirait aujourd’hui.

 

7) L’azabache : ces petits objets de piété représentaient Saint Jacques. Ils étaient taillés dans le jais provenant des mines des Asturies et de Léon.

 

8) Le chapelet et la Bible: ils se généralisent à partir du XVème siècle.

 

9) la boîte à certificats : renfermait les autorisations, sauf-conduits, lettres de recommandation, passeports et autres billets de confession qu’ils devaient posséder à partir du 15ème siècle pour passer certains contrôles en traversant pays et régions.

 

10) Les certificats : ils attestaient de l’achèvement du pèlerinage . La coquille étant facile à falsifier, on la remplaça par des «lettres de preuve», dont la Compostela est aujourd’hui l’héritière.

 

Une année est dite « Jacquaire» quand le 25 juillet , jour de la St Jacques, tombe un dimanche. Des manifestations particulières sont organisées. En raison des difficultés liées aux mesures sanitaires en 2020 (52 000 pèlerins seulement au sanctuaire) et en 2021, il a été décidé que 2022 serait aussi une année jacquaire.

 

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La secrétaire,

 

Marie-France VAINGUER

 

 

 

 

 

 

 

 


reportage 2

 


 

 

Le 9 Ocrobre 2019 les poètes de la compagnie sont allés à la rencontre des résidents de la maison de retraite protestante de Montauban.

 

Andrée Chabrol-Vacquier - Marilène Meckler - Nelly Boucheron-Seguin - Robert Vila -  Odile Stephan - Robert Delbouys et  Pierann ont proposé une animation poétique et musicale.

 

Comme chaque année l'accueil fut des meilleurs et le public chaleureux

 

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Andrée Chabrol-Vacquier

 

 

 

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Robert Delbouys et ses Amis

 

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Marilène Meckler

 

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Nelly Boucheron Seguin

 

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Odile Stephan

 

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Robert Vila

 

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Pierann

 

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Un public conquis et attentif


 

 

Le 11 Ocrobre 2018 les poètes de la compagnie sont allés à la rencontre des résidents de la maison de retraite protestante de Montauban.

Marilène Meckler - Nelly Boucheron-Seguin - Robert Vila -  Odile Stephan - Norbert Sabatié - Christian Stierlé  et  Pierann ont proposé une animation poétique et musicale.

Comme chaque année l'accueil fut des meilleurs et le public chaleureux avec la présence d'une classe de seconde du Lycée Capou.

Bien entendu la chorale de la résidence, talentueuse et dirigée par Nina, a ouvert  la séance.

 

 

Nelly

 

NELLY : " J'arrive !"

 

Les poètes

 

LES POETES

 

Chorale

 

LA CHORALE

 

Lecture ChS

 

CHRISTIAN STIERLE

 

Lecture NS

 

NORBERT SABATIE

 

Lecture O.


ODILE STEPHAN

 

Lecture RV

 

ROBERT VILA

 

 

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MARILENE MECKLER et PIERANN

 

Pierann3

 

PIERANN

 

Tous

 

LE PUBLIC

 

 


 

LES POETES DE LA COMPAGNIE ont répondu présents à l'invitation de "LA GUERILLA POETIQUE" à BRIVE le 24 Mars 2018 : MARILENE MECKLER - HUGUES DE JUBECOURT - GHISLAINE ET PIERRE RUDENT - PIERANN

 

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En fin de journée autour d'une "farcidure" (mique)

 

 

 


 

ANIMATION POETIQUE ET MUSICALE PAR LA COMPAGNIE  LE 4 OCTOBRE 2017

A LA MAISON DE RETRAITE PROTESTANTE (MONTAUBAN)

 

 

Mercredi, 4 octobre, dans le cadre de Semaine des Séniors, les poètes de la Compagnie des écrivains de Tarn- et-Garonne ont proposé, avec générosité et sincérité, un récital, à la Maison de retraite protestante, afin de partager un moment d’émotion et de convivialité, avec les pensionnaires.

 

Fidèles à ce rendez-vous, ils ont été accueillis par la chanson « Quand il est mort le poète », interprétée par les « dames en chapeau bleu » de la chorale de cet établissement. Au programme, poèmes et chansons, fables et nouvelles des auteurs présents ont été appréciés du public, dans une ambiance chaleureuse et sereine.

 

Acteurs et spectateurs se sont quittés, en entonnant en chœur : « Ce n’est qu’un au-revoir, mes frères », après avoir dégusté quelques douceurs.

 

Marilène MECKLER chef de "Coeur"* était accompagnée de : Andrée Chabrol-Vacquier - Robert Vila - Henriette Arquié - Odile Stephan - Emile Mottay - Nelly Boucheron-Seguin et  Pierann.

* Orthographe volontaire 

Larrivée des poètes

 

 Arrivée des Poètes 

 

 poètes et pensionnaires

 

Poètes et pensionnaires

 

Un public conquis

 

Un public conquis

 

 poètes et chorale des pensionnaires

 

Poètes et chorale des pensionnaires 

 

 

 


 

 

ANIMATION POETIQUE ET MUSICALE PAR LA COMPAGNIE  LE 5 OCTOBRE 2016 A LA MAISON DE

 

RETRAITE PROTESTANTE (MONTAUBAN)

 

 

Marilène MECKLER accompagnée de : Andrée Chabrol-Vacquier - Robert Vila - Henriette Arquié - Odile Stephan et  Pierann a animé une prestation poétique et musicale à la maison de retraite protestante de Montauban. L'assistance fut nombreuse avec une surprise de la part des résidents. En effet ils se sont commis en chorale pour interpréter une chanson avec brio, coeur et bonne humeur.

L'accueil fut sympathique et l'animation a été suivie d'un goûter dans une ambiance très amicale et chaleureuse.

 

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Andrée Chabrol-Vacquier

en compagnie de :

André Bacqué (à sa droite)

Poète et ancien vice-président de la compagnie

 

 

 

 

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Les Lecteurs

 

 

 

 

 

 

 

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La chorale des résidentes

interprétant :

"Quand il est mort le poète"

 

 

 

 

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Henriette Arquié

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Robert Vila

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Odile Stéphan

 

 

 

 

 

 

Émile 1

 

 

 

 

 

 

 

Emile Mottay

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Pierann